Hopper et Le Béton Ciré du Jardin des Matières

Béton Ciré, ombres et lumières : une leçon d’architecture.


Nous travaillons la matière dans le souci d’obtenir un rendu très lisse propre à susciter des jeux d’ombres et de lumières et révéler ainsi dans sa plénitude le dessin de l’architecture, y compris la plus simple, la plus humble et la moins pensée.

L’architecture prend, en effet, tout son sens par rapport à la lumière ; toute architecture est architecture de la lumière. 
Le Béton Ciré du Jardin des matières a pour ambition d’incarner cette vérité en se prêtant, du fait de sa texture parfaitement homogène, à ces variations infinies de jeux de lumière.

Edward Hopper disait « n’aspirer qu’à peindre les rayons du soleil découpant une architecture ». Cela est particulièrement évident dans son tableau intitulé Soleil dans une pièce vide, que nous avons osé rapprocher d’une photo de l’une de nos réalisations où les ombres de l’encadrement d’une ouverture portées sur le mur se reflètent au sol. Nous aurions pu citer aussi Tâches de poussière dansant dans les rayons de soleil du grand peintre danois Vilhelm Hammershoi où la lumière vient illuminer un sol qui, dans la modernité de cette peinture, semblerait, à s’y méprendre, être du Béton Ciré.


 

Peinture de Edward Hopper : Soleil dans une pièce vide – 1963


       

Peinture de Vilhelm Hammershoi : Tâches de poussière dansant dans les rayons de soleil – 1900


Le Béton Ciré du Jardin des matières a pour ambition d’incarner cette vérité en se prêtant, du fait de sa texture parfaitement homogène, à ces variations infinies de jeux de lumière.

L’architecture elle-même est affaire d’ombre et de lumière, de vide et de plein, d’absence et de présence. Le Béton Ciré rend sensible cette leçon d’incarnation qu’est l’architecture, comme l’explique le poète Yves Bonnefoy, en exprimant au plus près « l’être- là » de l’édifice, de la construction.

Nous ne séparons pas le travail de la matière d’une réflexion sur l’architecture, la peinture et la poésie, elles-mêmes porteuses d’une interrogation métaphysique. 


         

Béton Ciré du Jardin des Matières

Ce travail, dans son humilité, en est indissociable à notre avis, car la qualité des matières révèle l’architecture en ce qu’elle « porte absence et présence » : comme dirait Yves Bonnefoy, toujours, l’ombre y apparaît comme du « non-être rendu soudainement visible », « le néant devient tout à coup présent dans le champ du visible ».


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